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100 mots pour voyager en science-fiction :
Échos dans les médias

 
L'essai 100 mots pour voyager en science-fiction a inspiré articles et commentaires dans différents journaux et sites francophones. En voici quelques extraits :

 

« Cette façon d'aborder la SF par des voies inhabituelles, mais fournies en références SF, a pour avantage de réinsérer la SF dans l'univers du quotidien puis, à la lecture de l'item, de nous reporter dans le contexte [...]. On est chaque fois surpris, un peu désorientés, mais intéressés en plus de l'amusement que cela procure.
Un ouvrage à feuilleter... puis à lire ! »

[Roger Bozzetto, Solaris n° 160, Québec, septembre 2006]

   

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    « "Le grand paradoxe, relève notre homme, c’est qu’aucun de nous n’a le temps de se rendre compte à quelle vitesse le monde change autour de lui !" Eh oui, cher lecteur, nous nous croyons dans un certain monde, un monde certain; en fait nous sommes déjà dans un autre, mouvant et qui nous précède à grands pas. "La principale vertu de la science-fiction, juge FrançoisRouiller, c’est qu’elle parvient à nous donner conscience de ce phénomène." 
De surcroît, la science-fiction, loin d’être un champ d’intérêt marginal, réservé à quelques happy few, investit, émarge à tous les aspects de notre vie quotidienne. Dans ses 100 mots pour voyager en science-fiction, notre auteur la détecte jusque dans les chansons de Thiéfaine et dans quantité de termes, comme cyborg, clonage ou téléportation qui investissent le vocabulaire courant.
Enfin, ce qu’il y a de bien dans ces 100 mots pour voyager en science-fiction, c’est que même les honnêtes amateurs du genre peuvent encore faire des découvertes. »
[Jean-François Duval, Migros Magazine, N° 51, 18 décembre 2006]
   
   

« Ces 100 Mots... se distinguent autant par la forme que le ton. Pas d'exposé didactique ni de grande histoire du genre. Mais une exploration gourmande, à large bande: l'analyste ne s'enferme pas dans la SF stricto sensu, il happe Michel Houellebecq, Rabelais ou même Edgar Poe, «auteur de SF avant la lettre». Ceci dit, le texte n'esquive pas les grands sujets, abordant notamment les rapports de la littérature d'anticipation avec la religion, ou même la gnose, ainsi qu'avec les sciences et les technologies (des articles sur l'ADN, les comètes, le cyber, le cerveau, les épidémies, les images, la matière, les prothèses...). »
« [...] Chez cet expert tranquille, il y a une passion à raconter les romans, à résumer en termes simples les histoires et les enjeux des grandes œuvres, qui fait de ses 100 Mots... un guide néanmoins initiatique. [...] Ce bagage de l'honnête homme du futur est dense autant que limpide. »
[Nicolas Dufour, Le Temps, Samedi 24 juin 2006]

 
   

« Ce n'est pas un dictionnaire que nous offre Rouiller. Ni un guide. Mais une suite de cent courts articles, de deux pages ("sables", "testament", ou "trop"), à dix ("pire" et "prophétie"), aux titre parfois évidents ("amateur", "cycle" ou "espace") mais le plus souvent improbables. [...]
Certes, ce n'est pas un ouvrage exhaustif. Mais cette constatation ne saurait comporter ni reproches ni regrets. Parce que c'est fin, précis, à la fois plein d'empathie et fort distancié. Que ça réveille des souvenirs. Que ça fait relire d'un autre oeil ce que l'on croyait connaître, et découvrir nombre de choses. Que c'est si intelligent dans sa limpidité qu'on a l'impression de l'être soi-même un peu plus au moment de refermer le volume après une lecture forcenée ou un picorage aléatoire. D'autres fourniront une somme factuelle. Ce qu'on a là est peut-être moins immédiatement utile. Mais absolument passionnant. »
[Eric Vial. Galaxies n°40 ; été 2006]


 

 
   

« Cet essai se conformant au principe même de la collection dans laquelle il paraît offre donc cent entrées, aux titres parfois un peu déroutants ("blanc", "coït" ou "pentateuque" pour n'en citer que quelques-uns) mais au contenu dense, érudit et documenté et surtout très hétéroclite. Le design y côtoie la science, le jeu vidéo tutoie l'exégèse littéraire, les références musicales s'étendent de Manset à Kraftwerk, en passant par Dave Greenslade, la chronologie littéraire bondit au dessus des siècles débutant en 180 avant Jésus-Christ pour s'achever en 2006. [...]

Francois Rouiller fait partager ses admirations avec une ferveur communicative. [...] Ceux qui s'attendaient à une aimable balade à travers les plate-bandes déjà piétinées de la Sf en seront pour leurs frais. Si le guide cède parfois à quelques ruses pour égayer l'auditoire il l'entraîne avec érudition accompagnée d'auto-dérision dans une exploration sinueuse de la SF, un défrichage vertigineux, assorti de nombreux indices pour poursuivre l'aventure jusqu'à l'infini. Et au delà. »
[Nathalie Ruas, été 2006, ActuSF.]

 

 

 
   


« La culture  « SF » se répand : au cinéma, dans la bande dessinée, les jeux vidéo, l’art, le vocabulaire, les croyances, etc. Organisé en 100 paragraphes intitulés « Amateur », « Animation », « Conserves », « Histoires », « Douleur », « Prothèse », « Ovni », « Ruines », etc., le texte est une longue suite de digressions cultivées sur nombre d’œuvres de référence de l’imaginaire SF, qu’elles soient loufoques, prémonitoires ou sérieuses. Très agréable à lire, il sera un stimulant moyen de repère pour les passionnés de... SF.. »
[Pour la Science, N° 347 p.102, septembre 2006]

 
    « S'il existe un livre à mettre entre toutes les mains, c'est bien celui-là. Néophytes, laissez tomber les encyclopédies indigestes ! 100 mots pour voyager en science-fiction vous apportera la connaissance nécessaire et vous posera de vraies questions. [...] Avec ce livre, François Rouiller se montre une fois encore un des meilleurs vulgarisateurs des littératures de l'imaginaire. »
[Jean-François Thomas, 24heures, 7.11.2006]

 
 
    « A travers les pages, l'intérêt du lecteur est constamment avivé par la plume de François Rouiller dont on ressent autant la passion que la maîtrise du sujet. Une véritable ouverture sur la nébuleuse SF qui contentera néophytes et passionnés. »
[Vincent Gerber, Murmures, oct-nov 2006]

 
    « [...] l'auteur ne propose pas un guide de plus, ou une quelconque encyclopédie. À rebours d'un inventaire exhaustif, il nous invite au voyage, simplement. »
[Sud Ouest Dimanche, 24 septembre 2006]
 

 

  

« Dans ce nouvel ouvrage, aussi indispensable aux profanes qu'aux connaisseurs, l'[...] auteur helvète démontre de manière fort convaincante et amusante que la science-fiction est finalement un vaste espace de liberté et de créativité. [...]
Bref, si vous êtes définitivement allergique aux ouvrages théoriques à la formulation académique, si vous dédaignez les guides de lecture routiniers, les dictionnaires et les encyclopédies raisonnés trop raisonnables, le livre de François Rouiller propose une alternative décomplexée, amusante et non dépourvue de rigueur afin de découvrir ou de redécouvrir la science-fiction. un livre dont l'objectif avoué est de donner envie, ce qu'il réussit pleinement. »
[Laurent Leleu, Bifrost, N° 44 p.97-98, octobre 2006]

 
      « Cet ouvrage solidement documenté est d'abord une invitation à flâner dans l'Univers de la SF. à butiner donc, entre "ADN" (qui traite de la génétique vue à travers le film "Bienvenue à Gattaca" et "Zut" - qui... est à voir absolument ! »
[DF, Ciel & Espace, novembre 2006]
 
      « Il y a trop déjà de dictionnaires de la SF pour qu'on puisse, de nos jours, se permettre d'en commettre un de plus qui se conforme aux usages. [...] François Rouiller réussit le pari d'un point de vue résolument rafraîchissant. »
[Pascal J. Thomas, KWS, N° 55, novembre 2006]
 
     

« "100 mots pour voyager en Science-fiction" est doté de qualités qui risquent de propulser cet ouvrage au rang d’incontournable pour les profanes sans être complètement inintéressant pour les connaisseurs. L’approche de François ROUILLER se veut totale puisqu’elle englobe sous le terme de « culture SF », les diverses manifestations de la Science-fiction dans les médias, l’art, le cinéma, la musique, la Bande dessinée, les jeux vidéo, les croyances... Elle est également subjective, sans être gratuite, et méthodique, sans être trop rigide.[...] »
 

[Ubik, Juin 2006, Le Cafard cosmique.]

 
 
      « Vous connaissez peut-être François Rouiller qui avait notamment signé Stups & Fiction, un ouvrage sur la drogue et toxicomanie dans la science-fiction. Un recueil d'érudit qui cartographiait, comme son titre l'indique, toutes les cyberdrogues… Ce journaliste-critique (et illustrateur) continue de déchiffrer à sa manière la SF. Il nous propose cette fois ci un abécédaire transversal et atypique. Ne vous attendez pas à y trouver des entrées classiques, genre "space-opéra", "robot", "voyage dans le temps" ou "extra-terrestre". Les mots qui sont égrenés sur plus de 500 pages tiennent de l'inventaire à la Prévert : "amnésie", "chimères", "coït", "fer-blanc", "presse-citron", "réseau", "symbiose", "vapeur", "zut" ! Et pourtant, tous les grands noms sont cités: Aldiss, Brown, Dick, Farmer, Heinlein, Simmons, etc. »
[ Laurent Diouf, Wreck This Mess - Paris, janvier 2007]
 
      « [...] ludique dans son approche et accessible pour les profanes comme pour les purs et durs, 100 mots pour voyager en science-fiction de François Rouiller propose une balade dans les multiples univers de la S.F. tant au cinéma, en musique qu’en littérature. Rouiller ne prétend pas du tout être exhaustif, mais il parvient à dépoussiérer de façon convaincante plusieurs idées reçues. »
[Site du Journal Le Libraire, Québec, 14 février 2007]
 
      « Après "100 mots pour 100 philosophes" et "100 mots sur l’Éthique de Spinoza", c’est un
voyage dans la science-fiction qui est proposé où des concepts très variés et pas forcément de
connotation science-fiction sont définis : ADN, animation, cerveau, chimère, comète, cyber,
gnose, horreur, OVNIS, prophétie, religion, synthétiseur… De nombreuses références au cinéma,
bande dessinée, jeux vidéo, musique, publicité, art, vocabulaire,
croyances sont citées pour expliquer que la science-fiction
a dépassé le cadre des quelques stéréotypes bien
connus [...] »
[Revue Acropolis, janvier/février 2007]
 
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