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Stups & fiction
Échos dans la presse


L'essai Stups & fiction a inspiré articles et commentaires dans différents sites et journaux francophones. En voici quelques extraits :

 

« Cette promenade historique et thématique dans les rayons psychotropes du genre est un régal. [...] Rouiller explore tous les types de drogues inventées, et les classe [...]. Autant de philtres enivrants et dangereux utilisés par la littérature, le cinéma et la bande dessinée de SF, en liaison avec leur époque. Loin d'être soporifique, cet essai se lit comme un roman. »
[Frédérique Roussel, Libération, 09.01.2003]
 

 

« François Rouiller, lui, a sniffé un sujet original. Essentiel quand on admet que la drogue est aussi nécessaire à la spéculation que le vin à l'alacrité du vieillard. En SF, la toxicomanie adopte des modes surprenants. Des substances inédites produisent des effets détonants. Ou créent tout simplement une civilisation. A lire sans modération. »
[Philippe Curval, Le Magazine littéraire, n° 417, février 2003]


 

« Stups & fiction peut paraître d'un abord abrupt vu son sujet, les drogues dans la science-fiction. Il se lit pourtant sans peine, émaillé d'exemples bien choisis. De Jules Verne à Greg Egan en passant par Philip K. Dick (le "maître psychonaute", dit joliment l'auteur) ou les trips du cyberpunk, l'ouvrage dresse un panorama des psychotropes de l'imaginaire - qui, en fait, reflètent davantage les malaises du moment que de quelconques espoirs psychédéliques. En conséquence, cette étude peut intéresser aussi bien les amateurs de SF que ceux qui sont amenés à affronter - ou à penser - l'emprise des substances addictives. »
[Nicolas Dufour, Le Temps, 06.01.2003]
 

 

« Une très sérieuse et magistrale étude sur les drogues dans la science-fiction. Intitulé Stups & fiction, cet ouvrage critique est de fait le premier traité d'envergure consacré au sujet. » [Jean-François Thomas, 24heures, 11.02.2003]
 

 

« François Rouiller rapproche la réalité - les progrès de la neurochimie, l'actualité des toxicomanies - et les fantasmes qui s'expriment dans les oeuvres d'anticipation. Il a été invité à présenter ce sujet par l'Association française des intervenants en toxicomanie. Un intérêt qui démontre que "Stups & fiction" s'adresse non seulement aux amateurs de science-fiction, mais aussi aux personnes interpellées par les problèmes liés à la drogue. »
[Claude Béda, La Presse Riviera Chablais, 19.12.2002]


 

« François Rouiller met surtout en évidence le puits sans fond que représente le potentiel de visions des drogues. Panorama thématique, mais aussi question importante: comment et dans quelle mesure la fiction pourrait-elle influer sur les comportements toxicomaniaques ? [...] Mieux, la SF confronte des fantasmes au réel, dans une perspectives de vraisemblance liée au régime naratif. Peurs, mythes, envies : ce que nous penserons demain de la drogue est peut-être déjà écrit. » [JS, La Liberté, 21.12.2002]


 

« Stupéfiant !
Oui d'accord, elle est facile, mais c'est le premier mot qui vient à l'esprit à la lecture de cette étude parfaitement maîtrisée que François Rouiller consacre aux drogues et à la toxicomanie dans la science-fiction. Attention, pas « dans la littérature de science-fiction » ! Car F. Rouiller ne se limite pas au support livre, il n'oublie ni la BD, ni le cinéma et effleure même la musique et les arts plastiques. Il n'hésite pas, de surcroît, à faire de fréquentes incursions dans toute la francophonie, voire chez nos amis transalpins. Aurait-il tout vu, tout lu, tout absorbé ? En tout cas, il semble avoir tout digéré...
[...] Notre érudit décline son thème en seize variations qui vont des drogues réelles (celle connues dans notre monde actuel) aux drogues sonores en passant entre autres par les drogues chronolytiques, divines, aliénantes et les cyberdrogues. Et c'est à chaque fois un régal. F. Rouiller rebondit d'un auteur à l'autre, d'une œuvre à l'autre, évoque ici, résume là, souligne convergences, divergences et inspirations sans jamais lasser. Bien au contraire, éblouissant d'érudition et de pertinence, il réussit le tour de force, malgré ou grâce à la limitation inhérente au thème qu'il traite, à montrer toute la richesse d'imagination, toute l'inventivité dont peut faire preuve la science-fiction. » [Gilles GOULLET, 01.05.2003 , Noosfère.]
 

 

« Autre "méta-discours" sur la SF et le genre humain, celui de François Rouiller, pharmacien de son état et critique avisé des mondes imaginaires. Combinant ses deux compétences, il vient de publier une étude sur la dope : Stups & Fiction [...]. Et c'est d'la bonne ! Là aussi, c'est une typologie exhaustive des différents produits et moyens imaginés par les écrivains pour "euphoriser" l'âme de nos héros inter-galactiques et des vilains petits hommes verts. Chronolytiques (affectant la conception voire le temps lui-même), cyberdrogues, drogues mutagènes, nanotechnologie, rhizome philanthrope et plus puisqu'affinités… Les options ne manquent pas. Leur conséquences sociales, économiques, philosophiques et utopiques non plus ! L'image de la drogue en SF est digne d'intérêt, car elle reflète ou précède la représentation que s'en fait la société. L'oeuvre de Philip K. Dick, "maître psychonaute" devant l'Éternel, est bien sûr passée au crible. Une solide bibliographie vient compléter le tout. Stupéfiant. » [Coda magazine/Wreck this Mess, février 2003:, Février 2003.]


 

et
« Cet opuscule fera date dans l'histoire du genre. À cela, trois raisons au moins : premièrement, c'est (à ma connaissance) la première étude systématique du sujet ; deuxièmement, c'est, à tous points de vue, un travail magistral ; troisièmement, et quoique l'auteur se tienne avec une rigueur toute... helvétique aux strictes limites qu'il s'est fixées, les perspectives qu'ouvre cette lecture dépassent de beaucoup son cadre thématique.
Dire que cet ouvrage s'appuie sur une remarquable érudition serait une platitude : le lecteur le plus pointilleux éprouverait bien des difficultés à vouloir identifier des lacunes dans le florilège qui lui est proposé. Que l'on en juge : en dehors des chapitres consacrés aux auteurs-phares du thème (Dick, bien sûr, mais aussi Egan et Wagner, sans oublier les cyberpunks Gibson, Sterling et Stephenson), tous les grands noms du genre (du moins ceux qui viennent à l'esprit dans ce contexte) sont évidemment présents (de Aldiss à Wintrebert, en passant par Disch, Jeury, Lem, Ligny, Morrow, Spinrad, Watson, etc.). Plus inattendus peut-être, des noms auxquels on aimerait qu'il soit plus souvent fait référence (pour ne citer que deux exemples : le très injustement sous-estimé et oublié Lafferty, ou le nouveau venu Nasir). En prime, quelques classiques utilement et fort judicieusement convoqués à l'appui de la réflexion ; (Baudelaire évidemment, mais aussi Huxley, Cocteau, Orwell, Kafka, Stevenson, Le Fanu, Sade, Rabelais, et même Pline l'Ancien). Au fil des pages, on croisera aussi Kepler, Mann (pour Dr Faustus), Michaux, W.S. Burroughs (pour Le Festin nu, entre autres joyeusetés), Jeff Noon (et son alléchant Vurf), Léo Perutz (ah, La Neige de Saint-Pierre !)... Et ce n'est pas fini. Car le cinéma n'est pas en reste (Cronenberg, Gilliam, Kubrick, Wenders... et jusqu'aux Inconnus !), non plus que la BD (de Hergé à Bilal) ou plus généralement les arts plastiques (H.R. Giger, entre autres). On trouvera même, de temps à autre, des références à caractère musical (d'Offenbach à H.-F.Thiéfaine, via Hendrix).
« Ouf ! », serait-on tenté de soupirer, assommé par l'ampleur de ces listes. Que l'on se détrompe : la profusion bibliographique n'est jamais lourde, et ne gâche en rien le plaisir de lecture ; ce n'est pas le moindre mérite de ce livre. Car Rouiller est trop fin pour « étaler la confiture », et trop structuré pour ne pas emmener le lecteur autrement qu'en douceur vers les confins de délires que seules les noces de la SF et des hallucinogènes, réels ou imaginaires, pouvaient produire. La haute tenue académique de l'ensemble (voir notamment, à ce propos, la bibliographie et l'index, remarquables d'exhaustivité et de clarté) ne peut générer que davantage d'engouement. Pour ne rien gâter, Rouiller écrit bien. Très bien, même : rien que pour la fluidité stylistique de sa prose, Stups & Fiction mériterait d'être cité en exemple. »
[Bruno della Chiesa. Première parution : 01.04.2003 dans Galaxies 27 ; reprise dans Noosfère, 01.09.2005.]
 

 

« Les amateurs de science-fiction apprécieront cet essai foisonnant et très riche (certainement qu'au détour d'une page, ils se rappelleront une nouvelle ou un roman de SF mettant en scène une drogue quelconque, lu il y a très longtemps et oublié jusqu'alors): De même que les personnes intéressées par la sociologie des drogues le liront avec intérêt [...]. »
[Nicolas Escudier, revue ALDERAN n°28, mars 2003]


 

 

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